Valse des adieux
Air: valse de Durieu
Te souviens tu, ô ma folle maîtresse
Du soir charmant de printemps parfumé
Où de ta main passée
entre mes fesses
Tu me faisais des pattes d'araignée?
Dans les transports d'une ivresse complète
Tu me disais: "Si tu veux cher amant
Je vais te faire une belle minette"
Plaisir divin dont j'étais ignorant
Prenant ma verge entre tes mains fluettes
Tu mui donnais de jolis noms d'oiseau
Sur mon ventre tu reposais ta tête
Tes noirs cheveux me chatouillait la
peau
Ah! Je sentais courir ta langue agile
De mon méat jusques au périnée
Pour terminer en ouvrire habile
Entre tes dents tu me pris tout entier…
Un log frissons parcourut tout mon être
Un spasme exquis m'agita tout entier
Et je sentis le long de mon urètre
Tout mon amour à long flots
remonter
Quand je sortis de l'extase amoureuse
Je vis alors qu tu sautais du lit
Tu técriais de la voix si joyeuse
"Oh! Mon chéri, comme tu m'en
a mis!"
Je pense encore à ta folle caresse
Mais tu n'es plus ingrate à
mon côté
Un autre hélas ! éprouvant
ta tendresse
Goûté à son tour
ce bonheur regretté.
Parfois aussi dans mes nuits d'insomnie
Ton souvenir vient soudain me hanter
Ma main s'essaie à remplacer
ma mie
Et je vide ma coupe à sa santé.