Oh! Sucer ta salive et respirer ton souffle
Tresser tes blonds cheveux, branler ton clitoris
M'éclairer de tes yeux comme d'une camoufle
Enfiler ton anus, bague de mon pénis.

Sur ma bouche amener tes deux seins en dérive
Mordre leurs mamelons de ma plus folle dent
Pour en faire jaillir le colostrome dive
Affolante rosée en ces fraises d'amant.

Oh! Pouvoir parcourir de ma verge stérile
Ta montagne Vénus couverte de poils roux
Arroser ton jardin de mon foutre fébrile
Cueillir tes blanches fleurs au parfum le plus doux

Et, ta jambe écartée et ta vulve entrouverte
Sentir ma propre chair s'enfoncer dans ta chair
Et, répandant mon sperme et négligeant sa perte
Venir et revenir et grouiller comme un ver.

Et contempler tes poils respirer leur odeur
Leur transformer mon vit en un fer qui les frise
Qui les boucles et fasse refléter leur rousseur
Les parer d'un scrotum qui complète leur mise!